BEY LER BEY + D’EN HAUT [Détournements Balkaniques//Trad Expé]
© Christelle Quessada et Nicolas Godin
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11 € tarif plein
7€ tarif réduit (étudiants, demandeurs d’emploi, bénéficiaires du RSA, titulaires de l’AAH sur présentation de justificatif)
CONCERT DEBOUT
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🟡 BEY LER BEY [Détournements Balkaniques]
Bey.Ler.Bey est la rencontre de Florian Demonsant, Wassim Halal & Laurent Clouet autour d’un même intérêt : jouer une musique improvisée qui détourne les codes et couleurs des musiques des Balkans. Ces trois improvisateurs sortent des sentiers battus, prennent des risques et poussent leurs instruments au-delà de leurs limites. Une musique qui ne cherche pas à plaire aux orientalistes, mais à toute personne curieuse de découvrir un univers singulier, frénétique, inspiré.
L’ALBUM / Mauvaise Langue
Une langue pas comme les autres
Improvisatrice
Qui n’est pas celle du Jazz
Une langue orientale
Fougueuse, débridée
Loin des clichés identitaires
Qui se revendique vulgaire et populaire
Une langue déliée, qui jacasse, qui embrouille, libre dans son phrasé, dans ses maltapropos.
Une Mauvaise Langue qui n’appartient qu’à Bey.Ler.Bey
DISCOGRAPHIE
Mauvaise Langue / Cok Malko – Orkhestra int
Mauvaise Oeil / Cok Malko – L’autre Distribution
Line Up:
Florian DEMONSANT Accordéon
Laurent CLOUET Clarinette
Wassim HALAL Darbuka Daf Bendir
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🟡 D’EN HAUT [Trad Expé]
Le groupe D’EN HAUT marie depuis plus de dix ans le répertoire de chansons et musiques traditionnel de Gascogne à leurs influences des musiques actuelles. Mais pour cela pas d’artifices électroniques : les effets, les timbres, les sonorités sont acoustiques, démontrant par là que la modernité n’est pas qu’une question d’équipement mais aussi d’état d’esprit et de rapport à la matière sonore, quel que soit le moyen pour parvenir à la produire. La langue gasconne se mêle au tambourin à cordes, à la shruti box, à la contrebasse, aux solives, aux plaques en métal et à d’autres objets glanés, que le duo fait sonner en guise d’accompagnement, pouvant aussi devenir sources d’inspiration pour créer des arrangements.
D’EN HAUT poursuit ainsi à sa manière et en soulignant le trait, une tradition bien ancrée dans les pratiques populaires du siècle dernier, de chanteurs qui s’accompagnaient parfois d’objets usuels, voire d’outils qu’ils détournaient le temps d’une chanson, en leur assignant le rôle de bourdon et ou de percussion, ce qui était alors une manière parmi d’autres de distiller l’art et la fantaisie dans une vie de labeur pourtant riche culturellement. Le groupe développe en parallèle de ses concerts des collaborations avec d’autres artistes (illustration sonore de conte, b.o de court-métrage, albums d’autres artistes, podcast… ). Le premier album date de 2013 et a marqué le milieu des nouvelles musiques traditionnelles par son inventivité :
♥ « D’en Haut évoque rien de moins que le Codona de la fin des années 70 avec Collin Walcott, Don Cherry et Naná Vasconcelos qui eux aussi nous envoyèrent de bonnes bouffées d’air frais en employant divers instruments du monde »
Néosphères – Eric Deshayes, musicologue & auteur spécialiste de l’underground Français
♥ « Entre harmoniques et dissonances grooves appuyés et arythmies se dessine un univers inédit que n’auraient renié ni les amateurs de krautrock, ni ceux du pionnier français bruitiste Albert Marcoeur. Au centre d’un chaos ludique et bien contrôlé les chants des deux complices s’élèvent fièrement et sans détour. Preuve est faite une nouvelle fois que la scène occitane mérite une attention toute particulière » Mondomix – Benjamin Minimum dans «Les nouvelles Vagues»
Line Up:
Romain Colautti : contrebasse, tambourin à cordes, percussions
Thomas Baudoin : chant, bols chantants, shruti box, tambourin à cordes, percussions
